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désert du Hoggar

Découvrez les trésors cachés du désert du Hoggar en Algérie

Le désert en Algérie

Le désert du Hoggar en Algérie regorge de merveilles naturelles qui attirent les touristes du monde entier. Du massif du Hoggar aux autres étendues de l’immense Sahara, cette région offre une expérience inoubliable pour les aventuriers et les amoureux de la nature. Dans cet article, nous allons vous faire découvrir les trésors cachés du Hoggar et vous donner envie de visiter cette région exceptionnelle.

Le Hoggar est l’un des plus grands massifs montagneux d’Afrique, s’étendant sur plus de 250 000 km². Les montagnes de granit rose et les imposantes sphères de pierre s’étendent à perte de vue, offrant des vues à couper le souffle. Les sentiers des Touaregs vous emmènent à travers le cœur du Hoggar, la deuxième plus haute montagne du Sahara, où vous pourrez admirer des paysages uniques. Les bassins rocheux remplis d’eau et les lauriers-roses sauvages ajoutent une touche de couleur à ce paysage désertique.

Prenez de l’altitude dans le Sahara

L’ascension des dunes ondulées de l’erg Mehedjibat peut être un véritable défi, mais la vue à couper le souffle en vaut la peine. Les montagnes de sable immaculées, d’un orange et d’un rouge éclatants, s’empilent et forment une mer de dunes qui s’étend jusqu’à l’horizon. Les gorges rocheuses de Tin Meskis offrent également un spectacle unique avec leurs peintures rupestres néolithiques bien conservées, témoignant de l’époque où le désert était habité et fertile.

Le coucher de soleil sur le Hoggar est un moment inoubliable, avec une mer de volcans éteints et de dômes verticaux de basalte se dessinant sous le ciel aquarellé du soir. La montagne mystique des Touaregs, Ilaman, se dresse sur votre chemin vers les sommets de Tahat et de l’Assekrem. Cette montagne légendaire est comme soudée par des colonnes de basalte, offrant un spectacle époustouflant pour les visiteurs.

Le Sahara est connu pour sa nature solitaire et sauvage, offrant une expérience unique aux voyageurs. Le Hoggar en Algérie ne fait pas exception à la règle. Ce paysage désertique offre un dépaysement total et une pause loin du tumulte de la ville. Que vous soyez un aventurier ou un amoureux de la nature, le Hoggar a quelque chose à offrir à tout le monde.

Deserts.fr : la référence pour les voyages dans le désert

Pour préparer votre voyage dans le désert, il est essentiel de disposer d’une source d’information fiable et complète. C’est là que deserts.fr intervient. En tant que référence des voyages dans le désert du monde entier, ce site est une mine d’informations sur les destinations, les itinéraires, les équipements nécessaires et les mesures de sécurité à prendre. De plus, deserts.fr est bien plus qu’un simple guide de voyage. Il propose également un espace communautaire où les membres partagent leurs expériences et leurs conseils. Grâce à cette plateforme, vous pourrez planifier votre aventure dans le désert en toute confiance !

pétrole

Le pétrole algérien s'est apprécié de 12,50 dollars en février

Les cours du Sahara Blend, le brut de référence algérien, ont progressé de 12,50 dollars en février dernier, soutenus notamment par la hausse de la demande et les tensions géopolitiques, a indiqué l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dans son rapport mensuel publié mardi. 

La moyenne mensuelle des prix du brut algérien est passée ainsi de 88,21 dollars/baril en janvier dernier à 100,71 dollars en février, soit  une hausse de 14,2%, selon la même source. Avec ces nouvelles données le Sahara Blend se place à la 2ème position parmi les bruts de l’Opep les plus chers au mois de février, et ce, après l’Angolais Girassol (100,78 dollars/baril). 

Le prix du brut algérien est établi en fonction des cours du Brent, brut  de référence de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres avec une  prime additionnelle pour ses qualités physico-chimiques appréciées par les  raffineurs.


Source: Le pétrole algérien s’est apprécié de 12,50 dollars en février

conseil de la nation session parlementaire

Conseil de la nation: ouverture de la session parlementaire 2018/2019

Le Conseil de la nation a ouvert, lundi, sa session parlementaire ordinaire pour l’exercice 2018/2019, lors d’une plénière présidée par le président de l’institution, Abdelkader Bensalah.

La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja et des membres du Gouvernement.

L’ouverture de cette session intervient conformément aux dispositions de l’article 135 de la Constitution et de l’article 15 de la loi organique définissant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la nation, ainsi que les relations fonctionnelles entre ces derniers et le Gouvernement.

Source: Conseil de la nation: ouverture de la session parlementaire 2018/2019

APN : ouverture de la session parlementaire ordinaire

APN : ouverture de la session parlementaire ordinaire 2018-2019

L’Assemblée populaire nationale (APN) a ouvert, lundi, sa session parlementaire ordinaire pour l’exercice 2018-2019, en séance plénière présidée par le président de l’Assemblée, Saïd Bouhadja.

La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah et des membres du staff gouvernemental.

 


Lire aussi: Ouverture lundi de la session ordinaire du Parlement

 


L’ouverture de cette session intervient conformément aux dispositions de l’article 135 de la Constitution et de l’article 15 de la loi organique définissant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation, ainsi que les relations fonctionnelles entre ces derniers et le Gouvernement.

Outre le projet de la loi de Finance 2019, la prochaine session, troisième sous la Constitution révisée qui a institué une seule session ordinaire par an d’une durée minimale de 10 mois, aura a tranché sur le projet de loi portant Règlement intérieur de l’APN, comme l’avait indiqué son président Said Bouhadja lors de la clôture de la précédente session, en affirmant que « plusieurs défis » attendent les députés et que « le parachèvement de la révision du Règlement intérieur de l’APN, vient en tête des missions futures ».

Le vote sur du Règlement intérieur de l’APN a été reporté suite aux débats et propositions formulées par les députés concernant, notamment la révision de la question des sanctions qui leurs sont imposées dans certains cas.

Parmi les articles décriés, l’article 69 qui énonce qu’après le cumul de trois absences injustifiées aux travaux des commissions et aux séances plénières, le député s’expose à des sanctions pouvant aller à une ponction sur l’indemnité parlementaire, comptabilisée sur la base des journées d’absence.

Le cumul de trois absences successives injustifiées, durant la même session, prive le député concerné du droit de postuler à un quelconque poste au sein de l’Assemblée au titre du renouvellement suivant.

Concernant cette question, M. Bouhadja avait précisé que les discussions en plénières ont requis, au vu du rapport préliminaire de la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés, plus de temps pour élargir la consultation, parvenir à l’élaboration d’un texte intégral et cohérent en conformité avec la Constitution et les dispositions de la loi organique définissant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation ainsi que les relations fonctionnelles entre ces derniers et le gouvernement ».

Source: APN: ouverture de la session parlementaire ordinaire 2018-2019

pèlerins algériens décédés au hadj

Hadj 2018 : 20 décès confirmés parmi les pèlerins algériens

Vingt (20) cas de décès ont été enregistrés parmi les pèlerins algériens dans les lieux saints, a affirmé mercredi à la Mecque (Arabie Saoudite), le président de la délégation consulaire de la Mission algérienne du Hadj, Mohamed Meziane.

M. Meziane a précisé qu’un recul « sensible » dans le nombre de décès a été enregistré durant cette saison du hadj (20 cas de décès) par rapport à l’année 2017 où 27 cas de décès ont été recensés parmi les pèlerins algériens, grâce notamment aux efforts de l’Office nationale du pèlerinage et de la Omra (ONPO) qui a entrepris des actions anticipées, outre le suivi et l’accompagnement des hadjis en termes de soins et d’actions de sensibilisation.

Le même responsable a démenti les chiffres communiqués par certains milieux qui ont évoqué deux cas de décès parmi les femmes hadjies, originaires de la wilaya de Bouira, mais il s’est avéré par la suite qu’elles sont toujours en vie.

Le responsable a fait savoir qu’un « saut qualitatif » a été enregistré dans différents domaines en dépit de certaines lacunes notamment à Mina dont la capacité d’accueil est limitée ainsi qu’en matière de transport, de restauration et d’encadrement. Ces lacunes ont été comblées par le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, a-t-il ajouté.

« Nous pouvons aujourd’hui parler d’institution du hadj en Algérie grâce à l’intérêt particulier accordé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika », a souligné M. Meziane.

Le hadj est désormais l’une des priorités du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs qui a fait preuve d’une grande compétence dans la prise en charge du dossier du hadj et la gestion des prestations au sein de la mission algérienne à la Mecque, à Médine et à Djeddah, a indiqué le responsable qui a ajouté que cet intérêt émanait de son sens des responsabilités et de son rôle actif au service de l’Islam de modération et du juste milieu prôné et suivi par l’Algérie.


Source: Hadj 2018: 20 cas de décès confirmés parmi les pèlerins algériens

l’auteur de l’attentat déjoué au siège de la sûreté urbaine de Constantine a été identifié

L'auteur de l’attentat déjoué au siège de la sûreté urbaine de Constantine a été identifié
TISSEMSILT – L’auteur de l’attentat déjoué au siège de la sûreté urbaine de Constantine a été identifié, a-t-on appris jeudi à Tissemsilt du ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh.

Le terroriste, auteur de l’attentat déjoué au siège de la 13ème sûreté urbaine de Constantine, « a été identifié en coordination avec les cadres chargés de l’enquête dirigée par le procureur de la République compétent », a indiqué le ministre lors de la cérémonie d’inauguration de la Cour de Tissemsilt.

Il a ajouté que conformément aux procédures et à la nécessité de l’enquête, le nom de « l’auteur de cet attentat ne peut, à présent, être révélé ».

Par ailleurs, Tayeb Louh a insisté sur la nécessité pour les magistrats et fonctionnaires de s’adapter avec la modernisation du secteur de la justice en mouvement, affirmant que cette modernisation connaît un rythme accéléré.

M. Louh a souligné que les nouvelles techniques utilisées dans le secteur de la justice permettent une rapidité de l’information en collaboration avec les services concernés par la lutte contre le crime organisé dont le terrorisme et le trafic de drogue notamment.

Le secteur de la Justice, a expliqué le ministre, adopte la modernisation pour garantir les droits et les libertés des citoyens en application des amendements de la Constitution initiés par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et des réformes du secteur.

« Nous sommes certains que la garantie des droits et des libertés des citoyens nécessite la contribution de tous à leur tête l’appareil judiciaire », a-t-il déclaré en substance.

Tayeb Louh a, au passage, insisté sur l’impératif de lutte contre les maux et la criminalité qui déstabilisent la société et affectent la quiétude du citoyen, tout en rappelant que les directives du Président de la République obligent les magistrats et autres services concernés à les combattre.

Le ministre a visité les structures dont dispose la Cour de Tissemsilt, à savoir cinq salles d’audiences, une salle de conférences de 220 places et 163 bureaux.

Source: L’auteur de l’attentat déjoué au siège de la sûreté urbaine de Constantine a été identifié

Classement mondial des pays les plus vulnérables aux cyberattaques

Classement mondial des pays les plus vulnérables aux cyberattaques : l’Algérie à la 25 éme place

Les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et font désormais partie du quotidien de l’actualité informatique. On se souvient encore du piratage du réseau bancaire SWIFT qui a permis à des hackers de dérober des dizaines de milliers de dollars à la banque centrale du Bangladesh.

Malgré la mise en place de normes de sécurité sur internet, aucun pays ne peut se vanter d’avoir ses serveurs à l’abri des pirates informatiques, mais peut-être moins vulnérables que ceux des autres pays. La firme de sécurité Rapid7 vient de montrer cette réalité à travers son classement des pays les plus vulnérables aux cyberattaques.

vulnérabilité aux cyberattaques, l’Algérie à la 25 éme place

Dans ce classement, on remarque que ce n’est pas forcément la taille de son réseau Internet qui rend un pays plus vulnérable aux cyberattaques. En effet, on retrouve des pays comme le Tajikistan (2e place) ou encore l’Algérie (25e place).

La Belgique est le pays le plus exposé aux cyberattaques

Le rapport émis par la société Rapid7 met en avant le fait que généralement les serveurs sont sécurisés. Par contre, ce sont les services qu’ils proposent qui sont susceptibles d’être piratés par les hackers. Ce classement repose sur des données collectées, en analysant toutes les adresses IPv4 pour un service spécifique. Après analyse, c’est la Belgique qui arrive en tête des pays dont les serveurs sont les plus vulnérables.

Ci-dessous le classement des 30 premiers pays les plus exposés aux cyberattaques :

  1. Belgique
  2. Tajikistan
  3. Les îles Samoa
  4. Australie
  5. Chine
  6. Hong Kong
  7. République dominicaine
  8. Afghanistan
  9. Afrique du sud
  10. Éthiopie
  11. Kenya
  12. Gabon
  13. France
  14. États-Unis
  15. Mozambique
  16. Japon
  17. Qatar
  18. Yémen
  19. Russie
  20. Argentine
  21. Maldives
  22. Azerbaïdjan
  23. Royaume-Uni
  24. Turkménistan
  25. Algérie
  26. Corée
  27. Pérou
  28. Nigéria
  29. Turquie
  30. Hongrie

Après la Belgique, on retrouve un autre pays de l’Union Européenne dans le top 15 des pays dont les serveurs sont les plus exposés au piratage informatique. Il s’agit de la France (13e place). La Russie et le Royaume-Uni se trouvent un peu plus bas dans le classement respectivement aux 19e et 23e places.

Hors de l’Europe, on retrouve les États-Unis à la 14e place, juste après la France dans le classement. En ce qui concerne la Chine, elle se trouve à la 5e place du classement réalisé par la société Rapid7. On pourrait alors se demander pourquoi les pays comme les États-Unis et la Chine, pour ne citer que ceux-là, qui sont censés avoir les moyens de sécuriser leurs services, se trouvent parmi les pays les plus vulnérables.

Source: developpez.com

une éclipse lunaire totale

une éclipse lunaire totale se produira le 28 septembre en Algérie

une éclipse lunaire totaleune éclipse lunaire totale se produira en Algérie et d’autres régions du monde lundi 28 septembre en cours, a annoncé mercredi le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

Le phénomène, contrairement aux éclipses solaires, « peut-être observé à l’œil sans précautions particulières », a souligné le Centre de recherche.

une éclipse lunaire totale

Selon le CRAAG, l' »observation de l’éclipse totale qui débutera à 3h11mn (heure locale) et se terminera à 4h32mn (heure locale), durera 72 minutes ».

« Ce phénomène d’éclipse lunaire totale se produit lorsque le soleil, la terre et la lune s’alignent presque ou parfaitement, la terre s’interposant entre le soleil et la lune. De fait que la lune n’est plus éclairée par le soleil, et que la lune se trouve dans l’ombre de la terre, la lune prend ainsi durant l’éclipse une couleur cuivrée », a expliqué la même source.

Le CRAAG de recherche met l’accent sur la récurrence des phénomènes des éclipses solaires et lunaires, « spectaculaire à voir ». « Il démontre, est-il ajouté, « la connaissance parfaite du mouvement des planètes de notre système solaire ».

Source: Une éclipse lunaire totale se produira le 28 septembre en Algérie

logement public pour les non-résidents

le logement public pour les non-résidents : une réelle source de devise pour l’Algérie

Suite au débat suscité par la réponse du Ministre de l’Habitat à une question sur la formule LPNR (Logement public pour les non-résidents), le portail Web spécialisé dans l’immobilier et le logement, Lkeria.com a mené une réflexion, qui est au demeurant soumise au Gouvernement, sur les potentialités de cette formule en termes de ressource en devise pour l’Algérie.

La demande de notre diaspora est très importante en matière de logement, qu’il s’agisse pour elle d’un placement judicieux dans le parc locatif ou de l’acquisition d’un logement en perspective d’un retour définitif ou même de visites estivales au pays. Ne pas saisir l’opportunité de canaliser l’épargne de nos ressortissants à l’étranger sur des produits locaux, et ainsi exporter nos logements, équivaut à priver notre pays d’une ressource abondante en devises.

Un potentiel de 10 milliards $ de recettes en deux ans

Cette formule peut être lancée rapidement en orientant les 100 000 logements de la formule LPPrestants, dont le financement est disponible et qui n’ont pas trouvé preneurs, pour les destiner à nos ressortissants établis à l’étranger. Pour un prix du logement variant entre 8 et 10 millions de dinars, un logement de cette formule coûtera dans les 100 000 $ l’unité, ce qui représente une entrée en devises de près de 10 milliards $, qui seront payés en 2016 et 2017, avec un apport immédiat d’un (01) milliard $ avec le règlement de la 1re tranche.

Selon les estimations du ministre de l’Habitat, la demande en France seulement est de l’ordre de 500 000 logements ; ce qui représente un potentiel de recettes en devise de 50 milliards $ sur 5 ans.

Triplons nos exportations hors hydrocarbures en une seule année

Cette opération de vente de logements à nos ressortissants à l’étranger qui s’effectuera en devises, peut être assimilée à une opération d’exportation, et contribuera à :

–      Equilibrer notre balance de paiements.

–      Renflouer nos réserves de changes.

–      Alimenter le budget de l’Etat en impôts (TVA, etc.)

–      Augmenter le niveau de liquidité des banques algériennes.

–     Avec un  potentiel de 10 milliards $ de recette en 2 ans (soit 5 milliards $ par an), nos exportations hors hydrocarbures passeront de 2,8 milliard/an à 7 milliards $/an.

Conditions  d’attribution

Les conditions pour l’accès à cette formule sont très simples et peuvent se limiter uniquement à : jouir de la nationalité algérienne et être immatriculé au niveau d’un consulat. Le revenu conditionnera le taux de la bonification du crédit bancaire sans être une condition d’éligibilité au logement. Pour leur part, les banques algériennes appliqueront leurs conditions de banque pour l’octroi d’un crédit dont le remboursement s’effectuera en devises.

Avantages directs et indirects octroyés à cette formule

Cette formule bénéficiera d’un abattement sur le prix des terrains. Le problème du foncier ne constituera pas une contrainte majeure du fait que les membres de notre communauté installés à l’étranger sont issus des différentes villes et villages du pays.Pour leur part, les postulants auront droit à une bonification du taux d’intérêt, selon leur niveau de revenu.

Cette modeste contribution de Lkeria.com intervient dans une période où toutes les forces vives de la nation sont appelées à s’investir pour trouver, à terme, des solutions concrètes aux questions qui contraignent l’épanouissement de notre économie et l’équilibre de nos finances.

Elle permet de satisfaire à trois objectifs :

1- Réaffecter une formule de logement qui ne correspond pas à un profilage local.

2- Conforter, sur le moyen terme, la finance nationale en ramenant de la devise au pays.

3- Conforter politiquement et socialement la communauté algérienne à l’étranger.

 

(*) Lotfi RAMDANI, Fondateur du site immobilier Lkeria.com

Contact : communication@lkeria.com / 0557 466 982

consultez ici l’article de la source

Algérie solvable

la volte face de l’Etat aura-t’elle lieu : lorsque l’Algérie était solvable

Comme le hasard fait l’histoire, s’il est permis de paraphraser Belaïd Abdeslam, il est pour le moins curieux que notre pays se voit inviter par Gérard Larcher à revoir sa partition, s’agissant de la règle du 49/51%.

Dans son précédent éditorial, L’Expression n’avait pas manqué de souligner que certains courants ne sont pas loin de penser, lorsqu’ils ne proposent pas, que la sortie de la crise financière passe irréversiblement par une entente régionale comme facteur de stabilisation.

Comme le hasard fait l’histoire, s’il est permis de paraphraser Belaïd Abdeslam, il est pour le moins curieux que notre pays se voit inviter par Gérard Larcher à revoir sa partition, s’agissant de la règle du 49/51%.

Pour le président du Sénat français, cette volte-face tant souhaitée de l’Etat algérien permettrait sans aucun doute possible de booster l’investissement étranger en Algérie. Pourtant, contrairement aux Américains, les entreprises de ce pays de l’Hexagone s’étaient fort bien accommodées de cette même règle.

A un moment bien sûr où l’Algérie était bien assise économiquement et devenait subrepticement solvable et fréquentable. Il est vrai que la donne a changé aujourd’hui à l’instigation de la crise financière, ce qui semble une aubaine pour ceux qui veulent nous assujettir et certains patrons du terroir enclins plus que jamais à ressusciter la bourgeoisie compradore. Cette même classe qui s’est grassement enrichie par l’import-import et la corruption générée par la passation des marchés publics.

Une classe qui, tel un paravent merveilleux, fait illusion pour mieux empêcher l’émergence de capitalistes nationaux en complète rupture avec l’idéologie semi-féodale, capables surtout de relever le défi de la sortie de crise sur des bases nationalistes et progressistes.

L’auteur Messaoud Benyoucef, que le chemin de l’exil a malheureusement éloigné de son pays, a raison de soutenir que l’Algérie a besoin d’une réforme intellectuelle et morale. Pour cet universitaire, c’est même une condition sine qua non, voire vitale pour l’Algérie, l’unité nationale et son peuple.

De son point de vue, il arrivera toujours le moment où les choses se décantent et où se produit le dévoilement, «cet instant idoine où la vérité de la graine éclate dans la fleur, où les masques tombent, où les intérêts bornés et égoïstes délogent les prétentions universalisantes et morales» où «le négociant à tête de lard succède à César», comme dit Marx.

À cet instant tombent également les illusions et les mythes; à cet instant s’évanouit le fantasme de l’unité nationale.» C’est pour cette raison que le pouvoir en place ne semble point disposé à procéder à cette réforme qui, comme celle de l’école, semble faire peur.

Il se trouvera toujours des clercs pour soutenir qu’ «une remise en cause de cette dimension est à même de porter atteinte à notre passé et à battre en brèche les legs ancestraux. Dans une intéressante contribution publiée durant les années 1970 par Révolution africaine, alors hebdomadaire du FLN, Abdelmadjid Meziane soutenait non sans pertinence que nos sociétés n’ont nullement intérêt à se laisser prendre par de trop fréquents pèlerinages aux sources: «Les cultures qui s’épuisent à creuser le passé, les idéologies qui se construisent artificiellement sur les bases mentales des générations ancestrales ne pourront qu’appauvrir la personnalité présente (…).

Qu’on ait envie de s’arrêter pour choisir, qu’on ne veuille pas sacrifier les bons vieux matériaux pour la reconstruction des personnalités nationales, voilà qui paraît bien légitime. Mais que l’on n’ait d’admiration que pour l’héritage ancestral, et voilà que l’on sombre dans la paralysie mentale.»

Continuant sur sa lancée, il soutiendra que la pluralité des cultures dans les sociétés contemporaines n’est plus considérée comme un effritement de la personnalité nationale: «Un nivellement culturel qui tendrait à nous imposer par les moyens d’information, par l’école, par le contrôle et la mobilisation des cerveaux, un système culturel particulièrement unifié, parfaitement cohérent, est considéré comme une utopie (…).»

En d’autres termes, une société ne peut accéder à un niveau supérieur de civilisation que si elle devient assimilatrice, c’est-à-dire que sa personnalité de base, au lieu de s’enfermer dans ses positions de résistance, doit affronter les influences étrangères et savoir les adapter à son propre mode d’existence.

D’aucuns, fait remarquer l’universitaire, considéraient cependant cette ouverture sur l’universalité comme un signe de dépersonnalisation: «Ce sont les défenseurs de l’orthodoxie. Résister idéologiquement sans accepter ni confrontation ni échange, c’est accepter de réduire de plus en plus sa personnalité et risquer par là-même de la faire disparaître un jour.»

L’unification des rangs tant souhaitée par Abdelaziz Bouteflika doit nécessairement passer par la remise en cause de la catéchisation et la mise au pas de ces commis de l’idéologie dominante qui réduisent les esprits vigoureux au silence dans le but de conforter cette bourgeoisie compradore connue pour ses liaisons étroites avec les intérêts des forces hégémoniques internationales.

La sortie de crise est à ce seul prix. Elle ne peut se faire que par la volonté et la mobilisation de toutes les forces vives du pays où les travailleurs, les paysans, l’élite nationale, l’armée, et les représentants du capitalisme national seront appelés à jouer un rôle déterminant pour le développement harmonieux du pays sur des bases nationales et progressistes.

Source: LA VOLTE-FACE DE L’ETAT AURA-T-ELLE LIEU? : Lorsque l’Algérie était solvable